Dans les pays en développement, où l’accès aux tests de laboratoire reste limité, l’utilisation d’un critère aussi simple que la prise de poids pourrait-elle améliorer la prise en charge des patients infectés par le VIH sous traitement antirétroviral ? C’est ce que suggère une étude publiée dans la revue AIDS, menée par des chercheurs de l’Institut Pasteur en collaboration avec Médecins Sans Frontières. Dans le contexte actuel de l’élargissement de l’accès aux antirétroviraux, il apparaît crucial de proposer des méthodes faciles à mettre en œuvre et peu coûteuses, utiles au suivi des patients traités.
Pour en savoir plus, veuillez lire le communiqué de presse de l’Institut Pasteur.