Selon une étude menée par John Stireman III de l’université de Tulane, une plus forte variabilité climatique diminue le niveau d’exposition des chenilles aux parasites. Les variations climatiques rendraient les guêpes, parasite principal des chenilles, moins habiles à suivre la piste des chenilles. Etant donné le rôle primordial joué par les parasites dans le contrôle de la population des insectes herbivores, cette étude suggère une prolifération des chenilles en cas de déstabilisation climatique, ce qui aurait potentiellement des conséquences dramatiques pour les cultures.
Source :
https://www.usatoday.com/tech/science/2005-11-21-snapshot-caterpillars_x.htm
Pour en savoir plus, contacts :
https://www.pnas.org/cgi/reprint/0508839102v1?maxtoshow=&HITS=10&hits=10&RESULTFORMAT=&fulltext=stireman+&searchid=1132947903619_42133&stored_search=&FIRSTINDEX=0&journalcode=pnas
Code brève
ADIT : 30917
Rédacteur :
Emmanuelle Delbecque, [email protected]