Le signal nerveux dans les cerveaux atteints par la maladie de Parkinson est plus rapide que dans les cerveaux sains. Ce résultat est surprenant car la maladie entraîne notamment un ralentissement moteur. Il a été obtenu sur un modèle animal par l’équipe du Laboratoire mouvement adaptation cognition (CNRS/ Universités Bordeaux 1 et 2). De nouvelles stratégies thérapeutiques viseront désormais à ralentir la transmission du signal nerveux. Ces travaux sont publiés le 10 juillet dans la revue Journal of Neurophysiology.
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