L’obésité et la banale prise de poids auraient une base génétique commune. L’équipe du laboratoire Génomique et physiologie moléculaire des maladies métaboliques (CNRS/ Université Lille 2 / Institut pasteur de Lille) dirigée par le professeur Philippe Froguel, associée à l’Université britannique Imperial College, à des équipes de l’Inserm et à des collaborateurs danois, suisses et allemands, viennent de découvrir un nouveau gène d’obésité qui joue un rôle essentiel dans la maturation de plusieurs hormones clés pour le contrôle de la prise alimentaire. Des mutations de ce gène augmentent le risque d’obésité sévère et peuvent entraîner un surpoids. Ces travaux sont disponibles sur le site de la revue Nature Genetics.
Pour en savoir plus, veuillez consulter le communiqué de presse du CNRS.