Bulletin d’actualité Espace n°18-40

Bulletin d’actualité rédigé par le Bureau du https://fscience-old.originis.fr/wp-content/uploads/2023/06/GLOC_Oslo_Norway_S2_27juillet2022_web-2-1.jpg à Washington D.C. (Edouard Lallouette, Armand Ousselin, Norbert Paluch)

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Politique

En visite au siège de la NASA le 12 décembre, le vice-président Mike Pence réitère son soutien au lanceur lourd SLS et à la capsule Orion
Space Policy Online, 12 décembre 2018

Value and Benefit Creation in Commercial Space
Secure World Foundation, 14 décembre 2018
Le 5 septembre, la Secure World Foundation a organisé en partenariat avec le Heinlein Prize Trust et Reed Smith LLP, avec le soutien de la New York Space Alliance (NYSA) une table ronde sur l’espace commercial.
Rapport succinct.
Intervention du Secrétaire au Commerce.

Complément de lecture
Intervention du Director of the Office of Space Commerce at the Department of Commerce le 5 décembre 2018 : « Advancing Space Commerce What Does Light Touch Permissive Regulation Mean »

International

Quel avenir pour les relations avec la Chine ?
Space Policy Online, 7 décembre 2018
Le 7 décembre, le Représentant sortant John Culberson (républicain, Texas) a indiqué qu’il avait bon espoir que soit maintenue la politique restrictive de coopération avec la Chine dans le domaine spatial, introduite en 2011 par le Représentant Frank Wolf (républicain, Virginie), laquelle s’applique non seulement à la NASA mais également à l’Office of Science and Technology Policy (OSTP) de la Maison Blanche.
Le texte, qui a évolué au fil des années, apparait aujourd’hui (FY 2018 Consolidated Appropriations Act [Omnibus]) comme suit :

SEC. 529.
(a) None of the funds made available by this Act may be used for the National Aeronautics and Space Administration (NASA) or the Office of Science and Technology Policy (OSTP) to develop, design, plan, promulgate, implement, or execute a bilateral policy, program, order, or contract of any kind to participate, collaborate, or coordinate bilaterally in any way with China or any Chinese-owned company unless such activities are specifically authorized by a law enacted after the date of enactment of this Act.
(b) None of the funds made available by this Act may be used to effectuate the hosting of official Chinese visitors at facilities belonging to or utilized by NASA.
(c ) The limitations described in subsections (a) and (b) shall not apply to activities which NASA or OSTP, after consultation with the Federal Bureau of Investigation, have certified—
(1) pose no risk of resulting in the transfer of technology, data, or other information with national security or economic security implications to China or a Chinese-owned company; and
(2) will not involve knowing interactions with officials who have been determined by the United States to have direct involvement with violations of human rights.
(d) Any certification made under subsection (c ) shall be submitted to the Committees on Appropriations of the House of Representatives and the Senate, and the Federal Bureau of Investigation, no later than 30 days prior to the activity in question and shall include a description of the purpose of the activity, its agenda, its major participants, and its location and timing.

Le libellé en question susceptible d’être adopté pour l’exercice 2019 pourrait étendre les restrictions d’échanges avec la Chine au National Space Council.
Article connexe précédemment publié : Bulletin d’actualité Espace n°18-35.

Plaidoyer de Jim Bridenstine en Europe sur la Gateway
Parabolic Arc, le 15 décembre 2018
L’administrateur Jim Bridenstine s’est rendu à Darmstadt le 13 décembre afin de présenter aux Etats membres de l’Agence spatiale européenne la vision de la NASA en matière d’exploration, les invitant en particulier à se joindre au développement de la Gateway. En marge de cette rencontre, l’administrateur s’est également entretenu avec le Président du https://fscience-old.originis.fr/wp-content/uploads/2023/06/GLOC_Oslo_Norway_S2_27juillet2022_web-2-1.jpg.

Spire s’appuie sur Galileo pour obtenir des données météorologiques
Cf. Météorologie Civile et Militaire

Le Lunar Reconnaissance Orbiter en soutien aux futures missions lunaires commerciales et étrangères
Cf. Lune et Cis-lunaire

Dans son projet de partage de la bande C avec les opérateurs 5G, la C-Band Alliance joue la carte de l’exclusivité américaine pour l’acquisition de satellites de communications
Cf. Télécommunications

Sécurité et Défense

Space Force : Adam Smith (démocrate, Washington) s’exprime
Space News, 12 décembre 2018
Adam Smith, actuel chef de l’opposition au sein de la commission des forces armées de la Chambre des Représentants susceptible d’en devenir le président durant la prochaine législature, tout en partageant l’idée d’un nécessaire renforcement de l’espace de défense, s’oppose à la création d’une branche armée indépendante dédiée à l’espace. Adam Smith avait dans le passé plaidé pour l’établissement d’un Space Corps au sein de l’armée de l’air.
Articles connexes publiés précédemment :

Le Département de la Défense demande à la DARPA un rapport sur la Space Development Agency
Space News, 13 décembre 2018
Mike Griffin, sous-secrétaire de la Défense pour la Recherche et l’Ingénierie, aurait chargé le directeur du Tactical Technologies Office de la DARPA (mémo en date du 6 décembre) de rédiger un rapport sur l’établissement de la Space Development Agency.
Le rapport, qui devrait s’appuyer sur la « DoD Space Vision » (en particulier les huit recommandations portant sur les compétences de la Space Development Agency contenues dans un rapport au Congrès commandité au travers du NDAA de l’année fiscale 2018), est attendu dans les deux mois (avec un rapport intermédiaire dans un mois).
Recommandations en questions :

  • Persistent global surveillance for advanced missile targeting,
  • Indications, warning, targeting and tracking for defense against advanced missile threats,
  • Alternate positioning, navigation, and timing (PNT) for a GPS-denied environment,
  • Global and near-real time space situational awareness,
  • Development of deterrent capability,
  • Responsive, resilient, common ground-based space support infrastructure (e.g., ground stations and launch capability),
  • Cross-domain, networked, node-independent battle management command, control and communications, including nuclear command, control, and communications,
  • Highly-scaled, low-latency, persistent, artificial intelligence-enabled global surveillance

Article connexe publié précédemment : Bulletin d’actualité Espace n°18-39.

Transfert de la responsabilité de l’acquisition des services commerciaux de communication par satellite de la Defense Information Systems Agency (DISA) à l’U.S. Air Force Space Command
Satnews, 13 décembre 2018
Article connexe précédemment publié : Bulletin d’actualité Espace n°18-32.

Lancements

SpaceShip Two atteint plus de 80 km d’altitude avec à son bord un équipage de deux personnes et quatre charges utiles technologiques
Parabolic Arc, 12 décembre 2018
Space NewsSpaceflight Now, 13 décembre 2018

Le 13 décembre l’aéronef WhiteKnightTwo de Virgin Galactic a décollé de la base de Mojave (Californie), emportant l’engin SpaceShipTwo. Une fois parvenu à une altitude de 13 100 mètres, le véhicule porteur a largué le SpaceShipTwo (avec un équipage de deux personnes), lequel a atteint une apogée de 82,7 km et une vitesse maximale de mach 2,9 grâce à ses propres moteurs (soixante secondes de combustion après quelques secondes de chute libre), avant de redescendre sur terre et d’atterrir.
Ce vol constitue le premier vol suborbital commercial avec équipage depuis octobre 2004, date à laquelle le SpaceShipOne avait remporté l’Ansari X Prize (doté d’une récompense de 10 M$) et le premier vol avec équipage d’un véhicule américain depuis le dernier vol de la navette spatiale en juillet 2011.
L’engin emportait quatre charges utiles dans le cadre du programme Flight Opporunity de la NASA :

  • Collisions Into Dust Experiment,
  • Microgravity Multi-Phase Flow Experiment for Suborbital Testing,
  • Validating Telemetric Imaging Hardware for Crew-Assisted and Crew-Autonomous Biological Imaging in Suborbital Applications,
  • Vibration Isolation Platform.

Article connexe précédemment publié : Bulletin d’actualité Espace n°18-23.

Rocket Lab lance treize cubesats
Parabolic Arc, 15 décembre 2018
Space News, 16 décembre 2018

Le 16 décembre, la fusée Electron-1 de Rocket Lab a lancé avec succès depuis le Launch Complex 1 en Nouvelle-Zélande une grappe de treize cubesats sur une orbite circulaire de 500 km d’altitude inclinée de 85 degrés. Ce lancement dédié, baptisé This One’s for Pickering, représentait le troisième de l’année pour Rocket Lab et le deuxième en un peu plus d’un mois (lancement du 21 janvier et lancement du 11 novembre). Ce lancement s’inscrivait dans le cadre d’un contrat Venture Class Launch Services (VCLS) que la NASA a accordé à Rocket Lab en 2015.
Dix des treize cubesats lancés ont été sélectionnés pour le lancement par la NASA dans le cadre de son programme CubeSat Launch Initiative (CSLI) et développés préalablement dans le cadre de son programme ELaNa (Educational Launch of Nanosatellites).
Pour mémoire, les programmes CSLI et ELaNa ne concernent que les satellites développés par les centres de la NASA ou les établissements et institutions issus du domaine académique.

ELaNa-19 :

  • CubeSail, University of Illinois at Urbana-Champaign – Urbana, Illinois,
  • CeREs (Compact Radiation Velt Explorer to Study Charged Particle Dynamics in Geospace), Goddard Space Flight Center – Greenbelt, Maryland,
  • NMTSat (New Mexico Tech Nanosatellite), New Mexico Institute of Mining – Socorro, New Mexico,
  • CHOMPTT (CubeSat Handling of Multisystem Precision Time Transfer), University of Florida – Gainesville, Florida et NASA Ames Research Center – Moffett Field, California,
  • ALBus (Advanced eLectrical Bus), NASA Glenn Research Center – Cleveland, Ohio,
  • STF-1 (Simulation To Flight), West Virginia University – Fairmont, West Virginia et NASA’s Independent Verification and Validation Facility,
  • ISX (Ionospheric Scintillation Explorer), SRI International – Menlo Park, California et California Polytechnic State University, San Luis Obispo, California,
  • RSat, United States Naval Academy – Annapolis, Maryland,
  • Shields-1, Langley Research Center – Hampton, Virginia,
  • DaVinci, North Idaho STEM Charter Academy – Rathdrum, Idaho.

Les trois autres satellites :

  • AeroCube 11 (x2), The Aerospace Corporation,
  • Space-Based High Frequency Testbed 2, Jet Propulsion Laboratory et Defense Advanced Research Projects Agency.

Le prochain lancement devrait avoir lieu en janvier 2019.

Articles connexes précédemment publiés :

Lanceurs

Complément de lecture
Fiche descriptive des activités de la FAA en matière de transport spatial commercial (12 décembre)

Spatioports

Le Département du Commerce s’inquiète de la surabondance de spatioports
Aviation Week, 13 décembre 2018
Il existe aujourd’hui 19 sites de lancement actifs aux Etats-Unis, quatre dédiés aux lancements orbitaux, dix dédiés aux lancements suborbitaux et cinq mixtes.
Dans ce contexte de surcapacité potentielle, le secrétaire au Commerce Wilbur Ross, a annoncé le lancement d’une étude portant sur le nombre de spatioports requis pour soutenir l’activité spatiale commerciale.
Article connexe publié précédemment : Bulletin d’actualité Espace n°18-30.

La FAA réfléchit à de nouvelles solutions afin de gérer les perturbations dans le trafic aérien causées par des lancements de plus en plus fréquents
Washington Post, 11 décembre 2018
Article connexe publié précédemment : Bulletin d’actualité Espace n°18-22.

Complément de lecture
Fiche descriptive des activités de la FAA en matière de transport spatial commercial (12 décembre)

Vols Suborbitaux

SpaceShip Two atteint plus de 80 km d’altitude avec à son bord un équipage de deux personnes et quatre charges utiles technologiques
Cf. Lancement

Télécommunications

OneWeb réduit d’un tiers la taille de sa constellation
Space News, 13 décembre 2018
Mettant en avant le fait que des tests au sol effectués sur les premiers satellites construits par Airbus Defense and Space avaient mis en évidence des performances meilleures que prévues, Greg Wyler a annoncé que la première phase de la constellation OneWeb passerait de 900 à 600 satellites. Le coût de production d’un satellite demeurerait inférieur à 1 M$, l’objectif annoncé à l’origine étant de 500 k$ (à noter que des redondances ont été ajoutées pour l’ensemble des éléments clefs des satellites, ceux-ci étant notamment désormais dotés d’ordinateurs de rechange et de quatre roues à réaction).
Le premier lancement d’une grappe de satellites est prévu pour février 2019 à bord d’un Soyouz d’Arianespace au départ de Kourou. Greg Wyler espère que le service sera opérationnel en 2019 mais n’exclut pas un report pour 2020. Le segment de marché visé en tout premier lieu serait la connexion Internet avec les navires et les avions, l’Internet grand public devant être ciblé dans un second temps.
Article connexe publié précédemment : Bulletin d’actualité Espace n°18-36.

Dans son projet de partage de la bande C avec les opérateurs 5G, la C-Band Alliance joue la carte de l’exclusivité américaine pour l’acquisition de satellites de communications
Space News, 12 décembre 2018
La C-Band Alliance (comprenant Intelsat, SES, Eutelsat et Telesat) a proposé à la FCC un plan de transfert de 40 % de la bande C du spectre (200 sur 500 mégahertz) utilisée au-dessus des Etats-Unis aux opérateurs mobiles pour le déploiement de leur réseau 5G (sous réserve que les opérateurs mobiles couvrent les coûts liés aux nouvelles infrastructures et à la migration des utilisateurs sur les bonnes fréquences). Pour compenser cette perte, SES et Intelsat ont annoncé que les satellites qu’ils déploieraient (leur nombre pourrait s’élever à une quinzaine) seraient construits par des sociétés américaines, une position qui apparaît faire écho à la politique « America first » de l’administration Trump. Eutelsat et Telesat loueraient des capacités satellitaires sur ces satellites.
Pour mémoire, sur les six plus importants constructeurs de satellites de communications, trois sont américains (Boeing, Lockheed Martin et Northrop Grumman Innovation Systems). La société canadienne Maxar Technologies, en passe de devenir américaine, a engagé un processus de cession ou de fermeture de sa chaine de production de satellites de communications, aujourd’hui en difficulté. Les deux autres sociétés sont les sociétés européennes Airbus Defence and Space et Thales Alenia Space.
Article connexe publié précédemment : Bulletin d’actualité Espace n°18-20.

Météorologie Spatiale Civile et Militaire

Spire s’appuie sur Galileo pour obtenir des données météorologiques
CNBCParabolic Arc, 11 décembre 2018
Les deux satellites de Spire conçus dans le cadre du programme ARTES Pioneer ‘Space as a Service’ de l’Agence spatiale européenne (soutien britannique) et lancés le 29 novembre dernier, utiliseront la radio-occultation des signaux Galileo pour obtenir des données atmosphériques.
Article connexe précédemment publié : Bulletin d’actualité Espace n°18-38.

Lune et cis-lunaire

Le Lunar Reconnaissance Orbiter en soutien de futures missions lunaires commerciales et étrangères
Space News, 10 décembre 2018
Disposant de suffisamment d’ergols pour fonctionner encore plusieurs années, le satellite d’observation lunaire de la NASA Lunar Reconnaissance Orbiter (LRO) lancé en 2009, verra sa mission étendue au soutien de missions lunaires commerciales, via un financement qui pourrait se matérialiser dès l’exercice 2019, au travers du programme Commercial Lunar Payload Services (CLPS).
Au-delà du programme CLPS, le LRO pourrait également apporter son soutien à des missions étrangères d’alunissage, telles que les deux missions prévues en 2019 par l’Inde (Chandrayaan-2) ou Israël (SpaceIL). La Chine n’apparaît pas aujourd’hui dans la liste des partenariats lunaires potentiels via LRO, même si l’administrateur de la NASA et le secrétaire exécutif du National Space Council Scott Pace, sans méconnaître la validité de l’amendement Wolf (cf. supra), ont récemment montré des signes d’ouverture en matière de coopération scientifique avec la Chine.
Article connexe publié précédemment : Bulletin d’actualité Espace n°18-11.

Le retour des astronautes américains sur la lune en 2028 ?
Moon Daily, 14 décembre 2018
Article connexe précédemment publié : Bulletin d’actualité Espace n°18-39.

Plaidoyer de Jim Bridenstine sur la Gateway en Europe
Cf. International

Complément de lecture
Mise à jour de la mission de référence EM-2

Spire s’appuie sur Galileo pour obtenir des données météorologiques
Cf. Météorologie Civile et Militaire

Exploration et Sciences de l’Univers

Le Milo propose un nouveau modèle de mise en œuvre de missions, avec dans un premier temps les géocroiseurs en ligne de mire
Site de l’Arizona State University, 9 décembre 2018
Le Milo Space Science Institute, une organisation à but non lucratif issue d’une initiative conjointe entre l’entreprise GEOshare LLC (filiale de Lockheed Martin), Lockheed Martin Space et l’Arizona State University, entend rendre plus accessibles des missions de sciences spatiales en mettant en œuvre de nouveaux modes de fabrication et de financement, selon trois axes directeurs :

  • “Accessibility: Reducing cost and sharing knowledge” : le modèle du consortium est privilégié ;
  • “Inclusivity: Partnering for global progress” : l’implication d’acteurs américains et étrangers est recherchée ;
  • “Innovation: A new model for global engagement”, modèle construit autour de quatre points clefs :
    • participation de partenaires aussi nombreux que variés ;
    • rapidité de la conduite des missions (maximum de deux ou trois ans pour la validation des missions) ;
    • accessibilité financière des missions (coût total d’environ 200 à 250 M$) ;
    • utilité des missions scientifiques : référence au Decadal Survey des académies nationales.

Différents niveaux d’adhésion sont envisagés, établis en fonction des ressources financières des acteurs, étant entendu qu’in fine l’ensemble des données recueillies dans le cadre des missions mises en œuvre par le Milo serait mise à disposition de l’ensemble des partenaires.
La première mission du Milo, envisagée pour 2023 (NEOshare) porterait sur les astéroïdes géocroiseurs représentant une menace pour notre planète.

Protection des corps céleste (dont la Terre)
Space Policy Online, 11 décembre 2018
Space News, 14 décembre 2018

Lors d’une réunion qui s’est tenue les 10 et 11 décembre 2018, le NASA Advisory Council a adopté une recommandation appelant la NASA à établir un comité interdisciplinaire d’experts chargés d’examiner les exigences actuelles de l’agence pour prévenir la contamination d’autres corps célestes par des engins spatiaux de la NASA ainsi que toute contamination de la Terre par des éléments extraterrestres.
Article connexe précédemment publié : Bulletin d’actualité Espace n°18-37.

La sonde OSIRIS-REx de la NASA découvre de l’eau sur l’astéroïde Bennu
Communiqué de presse de la NASA, 10 décembre 2018
Article connexe publié précédemment : Bulletin d’actualité Espace n°18-39.

Secteur Privé

Six sociétés américaines figurent parmi les dix sociétés spatiales de l’année 2018 pour le journal Via Satellite
Via satellite, 11 décembre 2018

Classement :

  1. SpaceX
  2. Blue Origin
  3. SES (Luxembourg)
  4. Astranis
  5. Audacy Space
  6. Infostellar (Japon)
  7. Isotropic Systems (Royaume-Uni)
  8. OneWeb
  9. Made in Space
  10. Speedcast (Australie)

Contrats

La NASA octroie un contrat d’un montant de 112 M$ à Booz Allen Hamilton pour la mise sur pied de capacités indépendantes d’évaluation du Johnson Space Center de Houston (Texas)
Mirage News, 13 décembre 2018

Technologie

Appel à propositions dans le cadre de la Phase II du programme NASA Innovative Advanced Concepts
Nspires, 7 décembre 2018
Parabolic Arc, 12 décembre 2018

Un montant pouvant atteindre 500 k$ sur deux ans sera attribué aux équipes sélectionnées, pour la poursuite de leurs activités menées dans le cadre de la Phase I du programme.
Article connexe publié précédemment : Bulletin d’actualité Espace n°18-10.

SpaceShip Two atteint plus de 80 km d’altitude avec à son bord un équipage de deux personnes et quatre charges utiles technologiques
Cf. Lancement

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Ambassade de France aux États-Unis d’Amérique
Service Spatial – Bureau du https://fscience-old.originis.fr/wp-content/uploads/2023/06/GLOC_Oslo_Norway_S2_27juillet2022_web-2-1.jpg

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