42ème Assemblée scientifique du COSPAR : les nanosatellites et le Space Climate Observatory sur le devant de la scène

arton9740

Dimanche 15 juillet 2018 à Pasadena en Californie, Jean-Yves Le Gall, Président du https://fscience-old.originis.fr/wp-content/uploads/2023/06/GLOC_Oslo_Norway_S2_27juillet2022_web-2-1.jpg, a participé à la journée d’ouverture de la 42ème Assemblée scientifique du COSPAR (COmmittee on SPAce Research). Créé en 1958, le COSPAR promeut la coopération internationale en faveur de la recherche scientifique dans le domaine spatial. A cette occasion, Jean-Yves Le Gall est intervenu sur les thèmes des nanosatellites et du Space Climate Observatory. Il a aussi rencontré différents partenaires du https://fscience-old.originis.fr/wp-content/uploads/2023/06/GLOC_Oslo_Norway_S2_27juillet2022_web-2-1.jpg pour faire un point d’étape sur les missions en cours.

Le marché des nanosatellites est en pleine croissance. Avec près de 250 nanosatellites lancés par an, il engage différents type d’acteurs, des universités aux laboratoires scientifiques, en passant par les agences spatiales et le secteur privé. Le https://fscience-old.originis.fr/wp-content/uploads/2023/06/GLOC_Oslo_Norway_S2_27juillet2022_web-2-1.jpg participe activement au développement de cette technologie visant à rendre les satellites plus compacts et moins chers. C’est le cas de projets universitaires tel qu’EYESAT, triple cubesat qui sera lancé cette année pour étudier la lumière zodiacale ou de projets réalisés en partenariat avec le secteur privé comme ANGELS, dont l’objet est de développer avec NEXEYA, une nouvelle plateforme évolutive et un nouvel instrument ARGOS ou encore de programmes menés avec les agences spatiales du monde entier, aux Emirats Arabes Unis, au Maroc, en Israël,… Pour développer des projets spatiaux à court ou moyen terme avec des objectifs scientifiques et technologiques de haut niveau, il ne fait aucun doute que les nanosatellites offrent de nouvelles opportunités aux pays du monde entier.

Les satellites sont aussi des outils essentiels pour étudier et acquérir de nouvelles connaissances sur le changement climatique. Le https://fscience-old.originis.fr/wp-content/uploads/2023/06/GLOC_Oslo_Norway_S2_27juillet2022_web-2-1.jpg joue un rôle majeur au niveau international dans ce défi primordial du XXIème siècle et ne cesse, deux ans après l’adoption de l’Accord de Paris sur le climat, de mettre la technologie spatiale au service de notre planète. A la veille du One Planet Summit qui s’est tenu en décembre 2017, a été lancé le Space Climate Observatory, initiative visant à rassembler les mesures climatiques des agences spatiales mondiales afin de les harmoniser et les mettre à disposition de la communauté scientifique. La dernière édition du Toulouse Space Show a mis en évidence les progrès les plus récents de cette initiative avec notamment l’augmentation du nombre de pays et d’organisations qui s’y investissent.

En marge de cet événement, Jean-Yves Le Gall a aussi rencontré Thomas Zurbuchen, Administrateur associé à la Science de la NASA et Michael Watkins, Directeur du Jet Propulsion Laboratory (JPL) avec lesquels il a échangé sur les différentes missions franco-américaines en cours.

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